Et dieu créa la dépendance.

On prend connaissance de ce jeu dangereux, on se dit : "Tiens, et si ça pouvait m'aider ?"
A partir de là on commence. On se propulse dans un monde inconnu, un monde différent, un monde où on se sent bien, un monde où personne ne nous dit rien, un monde autre que le notre.
On commence et l'on ne s'arrête, plus. C'est bon, la partie à commencer.  Push to play.
Ca y est, on est propulsé. Waouh, ça fait du bien. Enfin un instrument qui nous comprend, une chose a faire qui nous soulage, nous délivre. Une chose nouvelle. Une chose qui nous calme. Une chose qui ne nous aide pas. Une chose dangereuse. La vérité fait surface, les gens ne te regardent plus comme avant, ils te jugent, et tu passes au-dessus. Qu'est ce que l'on a gagné de plus en fin de compte ? De  l'adrénaline ? De la liberté ? Du repos ? Non, on n'a rien gagné, en fin de compte cela ne servait à rien à part se rendre compte d'une chose : qu'on ne va pas bien.

Game Over.